vendredi 27 janvier 2017

Bon anniversaire Maître

20:41 Posté par Unknown , Pas de commentaire



Le mystère entourait cette nouvelle séance d'un voile de douceur sous une pluie d'inconnu. Les consignes mentionnées étaient dignes d'une séance de clair obscur où les sens vont être mis à rudes épreuves. J'avançais déterminée vers ma destiné tout en gardant une pincée d'inquiétude. La voiture garée, le signal envoyé et le moment est venu de découvrir les surprises que m'a réservées mon Maître.

J'ouvre la porte doucement. A la télévision, la musique chantonne des airs modernes. Sur l'ordinateur tourne un film d'une séance de BDSM. Mon regard est attiré par ce film pendant que je me prépare en respect des consignes. Mes yeux parcourrent la pièce. Le feu crépite. Personne dans le couloir. Je sens sa présence, mais je me précipite à exécuter mes consignes trop pressées de commencer. Sur la petite table basse un bandeau et une serviette m'attendent. Au sol, un plaid polaire est délicatement posé pour m'adoucir la séance. J'ôte mes chaussures, me mets à genoux, positionne le bandeau sur mes yeux et allonge mon torse sur la table. Me voilà fin prête pour accueillir mon Maître comme il me l'avait demandé.

Ses pas résonnèrent derrière moi. Je sentais sa douce autorité si perturbante et si attirante progresser autour de moi. Puis une poignée ferme me saisit les cheveux. "Tu n'as rien oublié". Mon sang se glaça et ma déception lié à mon oubli me mit à mal. Je reconnus avoir oublié d'attacher mes cheveux. En même temps, la soumise dans le film se mettait à crier. Il s'approche alors de mon oreille et tout en chuchotant, m'annonce une punition pour cet oubli regrettable.

La séance commença vraiment. Il m'ordonna de me relever et d'adopter une position un peu inconfortable mais qui me donnait tout loisir de m'offrir à lui. C'est alors qu'avec beaucoup de bonheur et dans cette position de don à mon Maître, je lui souhaitais un joyeux anniversaire. J'étais sans retenue et tout à son attention pour une séance haute en émotion partagée.

Ma libido dans sa robe de tendresse se laissait guider par les désirs de mon Maître. Parfois avec facilité, parfois dans la douleur et parfois dans la difficulté, mais toujours dans un bonheur assumé et pleinement vécu. Les pinces mordaient clito et tétons. La corde de chanvre fine entourait mes seins et les maintenait dans une posture belle et valorisante. Allongée sur le dos, les mains attachées à mes jambes, j'étais contrainte et offerte aux délicieux jeux de douleurs et de plaisir que les jouets imprégnaient en rythme alternatif jusqu'à la jouissance première.

Une pause café le temps de vérifier que j'avais bien retenu les règles de conduite d'une soumise. Servir son Maître avec dévotion. Obéir et reproduire les positions demandées avec plus ou moins d'hésitation et de précision. J'étais fière de m'exécuter avec rigueur. Son sourire et son attention me comblait de bonheur. Je sentais mon corps l'appeler encore et encore. Et la séance repris avec l'obligation de ne pas bouger et de subir un jeu de cire et de cravache aux douleurs aigües, piquantes, chaudes et enivrantes. Délicatement à nouveau mon Maître me chuchota à l'oreille qu'il allait m'emmener une deuxième fois au plaisir. Mon corps se mit à nouveau à trembler à vivre au rythme de ses caresses et de ses coups. Je me laissais porter et savourer chaque sensation. La séance se termine avec à son apogée un cadeau de mon Maître en prémisse à une deuxième jouissance. J'étais comblée de bonheur et d'une magnifique complicité de jeu.

Et pour conclure la séance, mon Maître me rappela la faute que j'avais commise en arrivant et qu'il me fallait maintenant payer. Il n'avait pas oublié. Les mains posées sur la table basse et les fesses bien présentées, telle fut la position ordonnée. Au même moment, il m'annonça la sentence : une fessée à la main dont chaque claque devra être énoncé haut et fort. Je m'appliquais alors à compter sans savoir quand il s'arrêterait. J'étais inquiète et j'encaissais sans broncher trop honteuse d'avoir désobéit. 

Merci mon Maître pour cette séance du mystère.

mardi 24 janvier 2017

Un bijou intime, un bouton de passion

16:09 Posté par Unknown , 1 commentaire


Son murmure parcourrait les récits d'une subtile aventure à travers les corps et les plaisirs de chacun. Mais jamais en moi je ne l'avais porté. Son nom évocateur exprimé enchanteresse et possession, et c'est dans un tourbillon d'émotion que son diamant bleu me fut dévoilé. Les couleurs de mon Maître sur ce bijou étincelaient de mille éclats. Et pour la première fois, ce fut mon Maître qui le posa.

Son froid et sa dureté s'imposèrent à moi avec ferveur et détermination. C'était surprenant de sentir ce corps étranger se blottir dans mon intimité anale. En futur propriétaire des lieux, il s'impose absorbant ma fragilité et ma douce chaleur. Son gemme d'appartenance bloque à présent une part de mon moi. Mes fesses en enrobent sa couronne concluant la fusion charnelle.

Je le sens en moi, omniprésent, parfois gênant parfois troublant et parfois amant. Imposé durant deux heures et par série de trois par jour, il domine mon esprit par sa présence et ses sensations. Difficile de l'oublier et mon corps tout entier modifie ses mouvements. Cette familiarisation entre un corps et son bijou, cette acceptation d'un étranger dans le plus profond de mon intimité m'apparait comme une clé des plaisirs laisser par mon Maître. Le rosebud porte à mon esprit des lettres de noblesses et de luxes, embellissant mon intimité anale. Réconfortante et valorisante, cette image me berce de la douce emprise de mon Maître.

Ces sens sont nouveaux pour moi et encore au stade de la découverte et de l'émerveillement du pouvoir que peut avoir un tel bijou sur mon corps de femme. Il est encore un objet parfois refoulé pour cette place imposée et humiliante. Des spasmes internes tentent de m'en libérer et mon combat pour son acceptation ne fait que commencer.

jeudi 19 janvier 2017

Deuxième séance

16:33 Posté par Unknown , Pas de commentaire


Pour cette deuxième séance, j'étais très déçue de ma prestation. Je toussais beaucoup et j'étais très fatiguée. La séance de la fessée juste avant celle là, m'avait déjà bien épuisée. Mais je voulais offrir à mon Maître le meilleur que je pouvais.

La route jusqu'à lui fut à la fois longue et rapide, j'avais envie de lui faire partager le plaisir qu'il m'avait autorisé à avoir juste avant la séance. Je me rappelais ses consignes malheureusement, une énorme envie d'uriner aller mettre à mal tout le scénario qu'il avait préparé. Il n'était pas très content de ce contre-temps. Il m'indiqua les toilettes et à peine j'eus fini qu'il ouvrit la porte puissamment, m'observant dans une position fort humiliante. Ne t'essuie pas ! m'ordonna-t-il. Mon sang se pétrifia et malgré tout je m'exécutais. Le ton était donné.

Je rejoins le salon et écoutais avec attention les nouvelles consignes qu'il avait alors adaptées. "En position d'attente" m'ordonna-t-il. Je passais les positions en revue et cherchais celle qu'il fallait que j'adopte. Le temps s'égrenait et je voyais mon Maître jouer de mes inquiétudes. Il contrôla mon état d'excitation et l'état de mes fesses bien chaudement traitée par mon fesseur. Puis il m'autorisa à me lever et à me pencher mains appuyées sur la table basse. Il poursuivit son inspection vérifiant que mon anus vierge de toute pénétration aller être prêt à accepter son cadeau.

Ma surprise fut grande lorsqu'il me présenta ce petit sac noir dans lequel je découvrais un bijou anal d'un bleu roi magnifique. Il l'avait soigneusement choisi à ma taille.  Un rosebud signe de mon appartenance à mon Maître. Après m'avoir demandé de me pencher, il me le posa pour la première fois. La sensation du froid et de la lourdeur allait s'accompagner progressivement d'une sensation d'être toujours prise et possédée au plus intime de mon être.La chaleur de mes fesses avait trop baissé à son goût et il remédia très vite à rehausser la température.

Pour cette séance, mon Maître  avait prévu une punition dont le contenu et la durée étaient liés au hasard. Il m'invita à choisir un premier papier parmi deux posés sur son ordinateur. Je n'étais pas tranquille à cette idée et mes gestes furent maladroit oubliant les règles de présentation d'un objet à mon Maître. Après m'avoir repris, je pus lire sur son visage la satisfaction du trouble qu'il provoquait en moi. Il ouvrit le papier et d'un air moqueur : "ce sera sur les mamelles, pas de chance pour toi". A présent tu vas aller choisir un des deux autres petits papiers pour connaître le nombre de coup. La panique s'installait en moi. Mes seins sont pour moi ce qu'il y a de plus sensible. Je reviens tenant dans mes mains ce nombre si terrifiant de coups. Je m'appliquais à mieux lui présenter. Et il m'annonça un peu déçu : "tu es tombé sur le plus petit nombre. Ce sera 20 coups." La peur s'installait de plus en plus en moi et je commençais à paniquer. Il me calma et m'invita à m'asseoir. Mais hors de question de ne pas subir ma punition. Je dus tenir ma robe bien haut pour qu'il puisse claquer sur chaque mamelle et compter chacun d'eux. La douleur vive était pour moi difficile à tenir, mais je le fis pour lui, parce que c'est mon Maître.

La fin de la séance fut une montée du plaisir associé à un jeu de pinces sur le corps. Complètement livré à lui, j'étais pourtant incapable de lui offrir ma jouissance comme il l'aurait souhaité. Je m'en voulais d'avoir ainsi échoué alors que j'avais tant envie de lui faire plaisir.

J'apprendrai à me surpasser à être toujours mieux pour sa douceur, pour sa gentillesse et son attention, même si ses exigences sont des épreuves à chaque instant. Merci Maître pour cette agréable séance.

Dans l'antre de mon espièglerie



Enfouis au plus profond de mon âme, j'ai entretenu la flamme de mon espièglerie naturelle. Sans jamais faire de mal, sans jamais nuire, mais toujours à agir là où on s'y attend le moins. Après avoir obtenu l'autorisation de mon Maître pour jouer un jeu pur fessée, je fus convoquée par mon Papounet pour expier mes nombreuses soi-disant bêtises. Je dis bien soi-disant, car en fait ma sagesse n'a d'égale que mon espièglerie. Et oser me dire que j'avais commis des bêtises étaient juste incroyables.

Reprenons les faits. Mon Papounet a reçu des courriers (trois en tout) relatant des plaintes de mes professeurs et d'autres personnes. Il semblait fort déçu de voir que son éducation jusque là sans punition était un réel échec. Enfin selon lui, moi ça me convenait très bien. Il a donc décidé d'y remédier  en me sanctionnant d'une fessée sévère mes méfaits. Pensez bien, que je n'étais pas du tout d'accord avec ce traitement. Et puis d'abord, pourquoi devrai-je être puni pour l'esprit étroit de mes professeurs. Non mais sans blague quand même.

Les griefs étaient nombreux : 12 expulsions de cours pour tenue incorrect, propos déplacer vis-à-vis des professeurs entre autre. Franchement ça ne méritait pas une punition, après tout ce n'était pas de ma faute si les profs sont ainsi coincés et qu'ils ne supportent pas qu'on leur réponde quand on n'est pas d'accord avec eux. C'était mon point de vue, mais Papounet les soutenait considérant que j'étais en tort et qu'il me fallait le payer. De sa voix douce et autoritaire, il m'imposa de venir m'allonger sur ses genoux. Ma tenue à mon habitude était sans culotte et je dus encaisser ses claques cinglantes sur mes fesses. C'est fou comme Papounet à de la poigne. Je tentais de le dissuader de poursuivre la punition et c'est avec des "Papounet !" suppliant qu'il s'arrêta enfin.  "Es-tu d'accord avec les reproches de tes professeurs ? " Tout en vérifiant mon état d'excitation. Alors là, fallait quand même pas rêver. Moi d'accord avec les profs, c'était hors de question. Il me fit changer de position et avec un paddle poursuivi la séance. A nouveau je l'emplorai d'arrêter avec des "Papounet !" de plus en plus suppliant. Il faut dire que le paddle bien que moins cinglant que sa main, laissait une sensation de brûlure à mes fesses. Entre chaque salve, il me caressait pour m'apaiser et vérifier la monter de mon plaisir.

Ayant par malheur laisser échappé un bonbon (enfin, j'avais besoin d'une pause aussi ^^) j'obtiens par ce geste un départ du salon de Papounet. J'en profitais alors pour cacher les autres lettres, me disant que si une seule lettre entraînait un telle traitement, avec les trois, j'aurais pas pu m'assoir. Papounet revint bien déterminé à me faire avouer que les profs avaient raison. Et c'est au martinet, qu'il acheva cette punition. Les morsures étaient très aigües et mon corps tomber sous le plaisir de cette douleur si particulière. J'étais à fond dans mon plaisir, l'esprit complètement libéré de toute tension et livré à ma jouissance. La fin de la première punition s'approchait. Et Papounet me rappelait que j'avais encore deux autres courriers de plaintes pour mes comportements et qu'il allait me les faire payer de la même manière. De mon air innocent, je lui montrais qu'il n'y avait qu'une seule et unique lettre sous tous ses instruments de torture. J'étais fière de ma planque car il avait beau soulevé le plateau sous lequel je les avais caché, il ne les voyait pas. Mais ce ne fut que de courte durée, à croire qu'il avait déjà fait cela avant, il finit par les retrouver. Nous règlerons cela plus tard, me prévient-il, tu n'y échapperas pas.

J'ai aimé cette première fessée et surtout la volonté de Papounet à me conduire au plus près de mon plaisir dans la fessée. Merci Papounet


vendredi 13 janvier 2017

En attendant la prochaine séance

00:02 Posté par Unknown , Pas de commentaire


Il suffit de quelques coups de pinceau, pour rendre le tableau riche en couleur et en sensation. C'est en début de cette belle soirée que mes sens furent sollicités. Le signal du jeu lancé, mon Maître vérifia immédiatement mon état du plaisir. Et ne voyant rien venir - trop top pour ma neo-libido - il m'imposa quelques caresses pour y titiller mon bouton du plaisir. Je n'étais pas vraiment disposée à me laisser ainsi porté. La journée, les obligations faisaient que mon esprit vagabondait de-ci de-là. A croire que mon Maître le pressentait. Ces ordres furent une bouffée de désirs dont j'aspire à assouvir. Je m'exécutais heureuse et dévouée.

La leçon du jour devait me frustrer du plaisir de la jouissance pour apprendre à prolonger celui du désir et de l'excitation. Tenir le plus longtemps possible tel est le défi de la soirée. Mon Maître me conseilla de penser à la prochaine séance. La difficulté était grande tellement le cérébral de la séance y jouer un rôle important. Je me concentrais et tentais d'éliminer tous les parasites que j'avais repéré. Puis il me conseilla d'imaginer ce qu'il fera à mes têtons pour qu'ils apprennent à mieux réagir à ses moindres morsures. Mes tétons ! la source de ma plus grande sensibilité et fragilité. La simple idée de cette douleur me glaçait et paradoxalement, l'envie de bien faire et de lui faire plaisir me portait.  Doucement mon esprit se confina au creux de son aura protectrice et c'est avec beaucoup de fierté que j'ai pu constater mon plaisir toujours présent et bien humide comme il l'aime le voir.

Merci Maître pour cette leçon de plaisir que mon esprit a su maintenir jusqu'à présent. Mon esprit s'en doit aller pour un repos bien mérité, mais toujours je vous promets, dans cette excitation et cette humidité que vous m'avez demandé. 


mardi 10 janvier 2017

Séance de midi

19:00 Posté par Unknown , Pas de commentaire


La route traçait ma destinée sur cette mystérieuse première séance. Le paysage défilait tel un champs de bataille où les rayons de soleil se battaient contre le givre déterminé à s'imposer en cette journée d'hiver. Les pins scintillaient de mille feu. Mon esprit errait à travers mon imaginaire. Qu'allait-il me faire. Mon Maître en maintenait le doux secret. L'inattendu, l'imprévisible, rien n'était plus beau que de s'abandonner en toute confiance sans avoir la moindre idée de ce qui peut arriver.

Obéissante à ses ordres je lui signalais dès mon arrivée ma présence. Sa silhouette se dessina à quelques mètres de moi, le téléphone collé à l'oreille. Mon coeur se mit fortement à battre de joie et d'inquiétude. Le bonheur de le retrouver et de sentir cette sérénité et ce charisme envoûtant, et le stress de la séance à venir. Je laissais mes émotions m'envahir pour ne perdre aucune des sensations. Ce doux équilibre qui caractérise si bien notre relation.

Dans la cuisine, sa courtoisie m'impressionna. C'est tellement rare de voir un homme prendre ainsi soin d'une femme. Une denrée en or dont je suis l'heureuse bénéficiaire. Une fois débarrassée de mes accessoires, il m'invita à passer dans le salon. Mon Maître s'imposa naturellement. Je comprenais alors que la séance commençait.

Première leçon : La présentation.Toujours de sa voix douce et ferme, mon Maître m'expliqua comment à chaque fois que je viendrai le voir, je me devrai de me présenter. Une posture simple au demeurant et difficile mentalement pour son côté humiliant, imposait à mon esprit mon transfert en propriété de mon Maître. Son regard autour de mon corps m'enveloppait de sa protection et ses doigts erraient sur mon corps abandonné.

Les plaisirs s'enchaînèrent entre puissance et passion. Mon plaisir était immense et rayonnait dans mon antre. Je me laissais guider par ses excès de plaisir et ses souffles de récupération à l'image d'une symphonie en cours d'écriture. De ses doigts habiles et créatifs, il tissa sur ma poitrine un beau bondage valorisant mes seins avec fierté. Les coups  firent une première entrée en scène, titillant et parfois mordant. La douleur était supportable et je l'appréciais pour l'excitation qu'elle m'apportait. Mes seins et mes têtons étaient mis à rude épreuve. La douleur très aigue était pour moi la plus difficile à supporter. Pourtant je n'avais qu'une seule envie : tenir. Tenir pour ne pas décevoir mon Maître, pour son plaisir.

Mon corps était fidèle à ma description sur mes réactions. Mon Maître voulait découvrir le potentiel de son jouet. Il m'allongea sur la table basse. Des cordes liaient mes membres entre eux bloquant la moindre intention de mouvement. Une boule dans la bouche et les yeux dans l'obscurité d'un doux masque soigneusement adaptée, j'étais offerte sans moyen de me protéger de cette nouvelle étape de la séance. Ce fut au tour de mon sexe de découvrir la douleur et l'obéissance. Les coups étaient mesurés et pourtant ma sensibilité croissait. Mélange de honte, d'humiliation, de fierté et de désir. Mon Maître ne se trompait pas sur ces jeux. Il prenait doucement le contrôle de mon clito lui imposant ses désirs. Le plaisir me portait dans une immense libération jusqu'à la jouissance qu'il domina.

La troisième partie de la séance commençait par une fessée qu'il dirigea avec volupté. Des coups posés et radiant accompagnés de caresses rassurantes. Il était temps de revenir sur un jeu inattendu, surprenant même. Un jeu où mon Maître a poussé sur mon point le plus sensible mes tétons et mes seins. Les larmes coulaient des morsures des pinces et de leur retrait tout stimulant le plaisir.

La fin de la séance s'approchait. Mon Maître décida de vérifier si j'avais bien appris les deux positions qu'il m'avait transmise. Et me fit les exécuter. J'étais fière en position d'attente malgré l'inconfort qu'elle générait sur mon corps. Puis ce fut au tour de l'humble ou mon Maître pris plaisir à me faire sentir son côté humiliant pour moi. La séance se termina avec une dernière leçon pour apprendre à servir son Maître et je fus autorisée à m'asseoir à ses côtés.

J'étais complètement vidée, heureuse et invulnérable. Je sentais la puissance de mon corps, de son impact sur mon Maître et les désirs qu'il avait su susciter en lui. Il était temps pour moi de rentrer. Un dernier baiser respectueux et un remerciement. 





                                                                                                    

vendredi 6 janvier 2017

Première rencontre

20:00 Posté par Unknown , Pas de commentaire



Ses mots coulaient dans un lit de velours et de tendresse empreints de sévérité et d'autorité. Ce subtile et équilibre mélange m'a envoûtée et portée dans les méandres d'un jeu connu et désiré. Son portrait affiché dans cet encadré me tourmentait plus par peur d'être rejetée.

J'ai mal dormi cette nuit. Les craintes et l'excitation se succédaient sans jamais s'arrêter. C'était le grand jour, celui de la première rencontre. Celui où chaque moment chaque instant passé scellera les bases de la qualité de la rencontre. Consciencieusement, je m'appliquais à me préparer en respectant les premières règles de son éducation.

Le temps s'égrenait comme un chapelet comptant les secondes qui nous séparait encore. C'était long et court. C'était anxiogène et palpitant. Mon esprit suivait le fil des souvenirs de ses écrits et me guidait dans l'abandon d'une réalité dont je perdais progressivement le contrôle. J'aurai pu l'en empêcher et diriger comme je l'avais toujours fait. Mais j'en ai décidé autrement. Mon envie de vivre à fond cette relation nécessitait mon don total dès le départ. Être là pour lui et avec lui et me laisser porter au gré de ses envies.

Les places étaient nombreuses sur le parking très grand de cette zone commerciale. Étant arrivée en premier, je bénéficie du choix de l'emplacement. Le SMS envoyé, j'écoute la musique qui tourne en boucle dans la voiture. Je n'en perçois plus les paroles, c'est un fond mélodieux et doux qui m'accompagne jusqu'à son arrivée.

Sa sortie de voiture renforçait l'assurance et la stabilité que j'avais perçue dans ses écrits. Il se dirigea directement vers moi et monta dans la mienne. A cet instant, je me suis sentie coupée du monde et protégée contre tout ce qui pouvait se passer à l'extérieur de la voiture. Pourtant, un raz de marée d'émotion allait déferler en moi.

Sa voix était douce, posée et calme. Son impact fut immédiat. Ma fragilité s'enveloppa alors d'un manteau chaud de réconfort et de sécurité. Puis ses yeux bleus, vifs et réactifs parcourraient mon corps désireux et curieux. Puis sa main parfois douce et caressante parfois plus directive et imposante dirigeait les réactions de mon corps obéissant et dévoué. Une complicité entre eux que ma raison ne voulait briser. L'instant était magique.

Mon esprit aussi s'en est allé à épouser les décisions que mon Maître prenait. L'humiliation m'accompagnait à travers chacune d'elles. Au fond de moi, j'entendais la voix de la rébellion qui  m'a toujours accompagnée frustrée par ses privations imposées. Et pourtant, ce lâcher-prise me détendait et me libérait des tensions diverses du quotidien.

Pour cette merveilleuse première rencontre, je vous remercie mon Maître.

mercredi 4 janvier 2017

Bienvenue

19:11 Posté par Unknown 2 commentaires

La vie est un long fleuve dont la quiétude n'a d'égale que la paresse de notre vie. Saurai-je un jour m'enivrer de ces essences sans jamais me lasser et à toujours aimer. Je m'en suis interrogée pas plus tard que la veille de cette nouvelle année. Qu'allais-je bien pouvoir faire de mes plaisirs à nouveau retrouvés et que la destinée désirait cacher ?

J'ai suivi les sentiers de la dévotion pour un Maître qui n'est à ce jour qu'une photo sur un site internet. Ces écrits m'envoûtent par leurs couleurs si nuancées et contrastées. Posés et directifs, les mots s'enchaînent en tourbillon autour d'une pensée ou d'une émotion.

La magie de la soumission s'installe en moi comme une passion, une destination. Serai-je capable de boire le nectar de la vie et d'en apprécier les saveurs ?