lundi 4 décembre 2017

Le mal a dit

22:58 Posté par Unknown , Pas de commentaire
Le mal a dit que je devais m'accrocher pour pouvoir à nouveau retrouver mon Maître. Un moment d'intime plaisir et de liberté que je n'échangerai pour rien au monde. Une rhinite nous avait obligé de reporter la séance. Je m'en voulais d'être ainsi malade. J'avais tellement envie d'être là dans ce partage envoûtant d'une séance.

Toute la semaine je pensais en silence à l'aventure que me réservait mon Maître. Qu'allait-il encore trouver pour titiller mes sens. J'étais si impatiente. Dans nos échanges quotidiens j'ai glissé à mon Maître cette douce envie de fessées qui me hanter depuis plusieurs jours. J'avais besoin de tout quitter, d'oublier un instant ce monte pour un instant de liberté dans la puissance du plaisir.

Mon Maître avait très bien compris mon attente et mon besoin. Impartialement, il me préparait à la rencontre sans trop de tentation toutefois. Mon envie était si perceptible qu'il savait qu'un rien suffirait à me faire partir. Il avait aussi bien compris que j'avais besoin de le retrouver avec son autorité charismatique dont je rafole quand, comme là, je sature.

Le froid avait recouvert nos maisons et bien que l'après-midi s'installait, la chaleur s'épanouissait derrière les carreaux des maisons. Je pris la route sereine et le chauffage à fond pour ne pas aggraver mon état. J'étais toujours un peu prise par mon sale virus. Mais je me sentais assez forte pour profiter à fond de la séance.

Mon Maître m'attendait. Il avait pris soin d'allumer un bon feu de bois pour que je n'attrape pas froid. Il m'autorisa à garder ma robe. Aujourd'hui la séance se fera ainsi. J'aime lorsqu'il s'approche de moi et que je sens son souffle près de mon corps. Cela m'apaise et me rassure. Il me lève la robe et me claque la fesse nue. Je sursaute. La douleur m'a surprise. Inconsciemment mon cerveau se branche en mode chipie et je résiste. Ce qui me vaut des claques sur chaque fesse.

Quelques claques de mise en condition plus tard, je me retrouvais penchée sur la table. Les claques cédaient leur place à la cravache. Je me dandinais sous les coups. La douleur commençait à me libérer. Je me laissais porter. Mon clitoris s'enivrait de ses caresses. La badine entrait à son tour donnant à la rythmique une note aigu. Mon plaisir naissait sous les yeux de mon Maître attentif et concentré sur mes moindres gestes.

Des pinces entrèrent en scène. Sur chaque lèvre elles s'agrippèrent avec détermination. A leur tête, l'une d'entre elles avaient été désignée pour pincer mon organe du plaisir. C'était douloureusement excitant. Mon Maître choisit alors de me faire découvrir une douce souffrance avec le stimulateur clitorien. Les pinces répandaient les ondes du bonheur au point que je sentais le plaisir au porte de la jouissance. Mon Maître l'a vu et cessa immédiatement ce jeu. J'étais frustrée, j'y étais presque.

Puis il repris la fessée, à la main. Les fesses rebondissaient sous ses claques et mon clitos hurlait du plaisir qui n'attendait le droit de s'exprimer. Je m'enfonçais doucement dans les méandres du bien être et du lâché-prise. Mon Maître alterné les claques et les caresses. Mon esprit avait quitté la réalité. J'étais dans un état second. J'étais bien, en paix et détendue.

Mon Maître me trouvant à point m'offrir le droit à la jouissance. Il poursuivit les coups de cravache et de badine. Sans m'en rendre vraiment compte, je désobéis à mon Maître en resserrant les jambes en guise de protection contre cette badine sévère. La punition tomba J'acceptais la sentence et pris conscience que je devais cesser mes contrôles. Mon Maître prit la boule stimulante et la plaça avec une précision terrible. De l'autre main, il pinçait mon têton. Impossible de contrôler mes sens. Je subissais de plein fouet le puissant plaisir qu'il allait me procurer. Une explosion d'étoiles intérieures m'envahit. J'avais l'impression de voir mon corps se vider littéralement. Le sourire de satisfaction sur les lèvres, mon Maître maintient rigoureusement la position jusqu'à ce que mon cri s'estompe épuisé et vaincue. Lessivée, vidée de tout, j'ai mis du temps à revenir à moi.

Lors de cette séance j'ai renoué avec la transe en partie. Un lâché-prise libérateur et reboostant. Merci mon Maître pour cette merveilleuse séance.

lundi 4 septembre 2017

Surprise sur prise !

16:36 Posté par Unknown , Pas de commentaire
En ces derniers jours de vacances, je fus convoquée chez mon Maître pour une séance pleine de surprises. J'étais ravie de le retrouver et en patientant dans les bouchons, j'essayai d'imaginer quelles surprises il m'avait bien préparées. Avec un retard de 10 minutes, j'arrivais enfin à destination, pas très tranquille du coup. Je ne sais jamais comment mon Maître va réagir à mes retards. Si je serai excusée ou sanctionnée. Et il m'a appris à ne pas anticiper, juste d'assumer au moment voulu.

Mon Maître avait l'intention de me faire découvrir une fessée pleine de sensations extraordinaires. Pour cela, il commença par me bonder les seins formant avec sa corde un superbe soutien-gorge. Mes poignets furent enlacées et attachées dans le dos au précédent bondage. Impossible de libérer mes mains, lorsque les premières claques sanglantes et sévères s'abattirent sur mes fesses. La rupture avec la douceur fut immédiate. Bien que mon Maître s'amuser à maintenir un humour agréable et déstabilisant. Progressivement, les claques augmentaient en densité et en puissance. Je sentais sa puissance sur ma fragile et ingrate situation. Entre quelques assauts, il vérifiait l'état de plaisir en se promenant entre mes cuisses, titillant mon clito motivé à prendre son pied. Lorsque je fus suffisamment humide, il décida de me bander les yeux et me mettre un bâillon pour que je puisse respecter le silence de son travail. Quelques claques supplémentaires manières et il m'annonça :
- "alors prête pour la première surprise ? "
Je hochais la tête acquiesçant à sa proposition. Je mis tous mes sens en éveil espérant décrocher quelques indices capables de me mettre sur la voie. Le premier coup tomba, sifflant et ventilant près de ma peau. Je reconnus le cuir et sa sensation si particulière. Je reconnus la cravache de cuir qu'il m'avait présenté à la dernière séance. Et je me délectais des sensations cuisantes qu'elle laissait sur mon corps. Petit passage sur mon sexe qui traduisait sans retenue le plaisir qui s'installait en moi.

- "On passe à la deuxième surprise ? " me demanda-t-il. Et toujours prête à satisfaire mon Maître mais aussi à jouir de cette fessée qui s'annonçait exquise pour mes sens, je lui fis signe de la tête que j'étais d'accord.

Je ressentais alors une lanière de cuir, plus épaisse. Moins douloureuse, plus sensuelle. J'accompagnais sa valse de ses piquants chauffants. Mon corps continuait à montrer à mon Maître la satisfaction que j'éprouvais. Je l'entendais sourire, satisfait de l'effet qu'il provoquait. Vint alors la troisième surprise. Il brandit l'instrument dans le vent. Un bruit strident comme s'il découpait le vent à chacun de ses mouvements. Je reconnais le son de cet instrument dont je déteste la sensation cinglante et piquante qu'elle procure. Je m'abandonnais à cette danse, soumise  et sans retenue. Mon sexe dégoulinait de plaisir face à cette étrange sensation entraînant mon lâcher-prise dans la douleur.

Satisfait, il m'invita à m'allonger sur la table. Il me plaça des pinces sur les tétons, sur les lèvres et le clito. Et il m'emmena jusqu'à la jouissance profitant de l'instant pour m'ôter les pinces. J'ai explosé de l'intérieur et pour la première fois crier le mot de secours. J'ai atteint un orgasme d'une incroyable puissance.

Mon Maître m'aida à me relever doucement et me libéra les bras, les yeux et la bouche. Puis il me présenta les instruments de cette superbe fessée où il a réussi à m'emmener vers le lâcher-prise et la transe. Sur la table, je pouvais voir deux magnifiques cravaches de cuir et une badine fine de rotin.

Je vous remercie mon Maître pour cette superbe séance et du plaisir que j'ai eus.

dimanche 13 août 2017

Saucissons et paupiettes de sein

16:18 Posté par Unknown , Pas de commentaire


Que cette rencontre fut difficile à organiser tant nos activités estivales nous éloignaient de nos possibles de rencontre. Mais après des reports indépendants de notre volonté, nous avions enfin trouvé ce créneau de jeu. J'étais très heureuse de retrouver mon Maître, sauf que mes menstruations avaient décidé de s'inviter à la fête. Impossible d'annuler pour ce motif, mon Maître le refuse. Il m'accepte avec cet inconvénient. C'est donc plein d'appréhension et d'inquiétude que je me pris la route. La crainte de trouver les vacanciers sur la route, m'avait fait partir plus tôt de chez moi. Et j'ai eu vingt minutes d'avance au final. Le hasard fit que mon Maître se trouvait à la fenêtre lorsqu'il m'aperçut arriver avec mon véhicule. Le signal fut immédiatement donné, mais je passe malgré tout mon SMS comme à mon habitude. Il me confirme son impatience de me retrouver.

La porte passé, ma joie de le revoir était comme à chaque fois immense. Selon lui, j'avais même pris un peu trop de liberté depuis notre dernière rencontre. Et il avait l'intention de ne pas se laisser mener ainsi. Pour jouer en toute tranquillité je lui avais demandé l'autorisation de me changer en arrivant. Ce qui m'autorisa bien sûr, mais dans le respect des règles dans ce cas-là : c'est-à-dire que la porte des toilettes doit rester ouverte. Ce qui me gêna énormément surtout avec ce problème féminin. Bien sûr, je me manifestais tentant par ce biais de l'éloigner de la porte. En répartie j'obtiens sa présence et son regard très curieux durant tout le temps qui m'était nécessaire. J'étais super-gênée, même si je donnais l'impression d'assumer. Une belle façade qui allait me coûter cher.

Le jeu commença et je dus me mettre entièrement nue comme à notre habitude. Mais j'ai eu beaucoup de mal à tenir dans cette simple situation qui d'ordinaire ne me pose aucun souci. Mes émotions trop fortes m'ont entraîné deux mini-malaises consécutifs. Après m'avoir permis de m'assoir et de récupérer, mon Maître prit soin de moi en me donnant de quoi me relever de cet état. Puis il me tendit ma culotte et m'autorisa pour la séance exceptionnellement à la porter. Et par bonheur, cela m'a permis de reprendre le cours du jeu.

Mes seins et mes fesses allaient être mises à rude épreuve, me dit tout joyeux de l'annonce, mon Maître. Gloups ! Je suis déjà de nature très sensible des tétons en temps normal, mais là avec les règles, je m'attendais au pire. Je ne fus pas déçue. Il commença par m'en saucissonner les seins suffisamment serrés, mais pas trop pour amplifier les sensations. Vérification à travers des claques et de tirage de tétons. Ma réaction ne tarda pas et mes grimaces de douleur firent leur apparition. Il était fier de lui et moi j'essayai de tenir en lui faisant le plus honneur possible. Il poursuivit son bondage en croisant ses cordes autour des mamelles les enfermant alors comme des paupiettes. Un magnifique soutien-gorge de cordes, rendant mes seins hypersensibles. Claques sur les fesses, puis à nouveau sur les seins, il alternait les zones offertes à ses plaisirs. Satisfait de son résultat, il  m'enleva le bondage et admirait les marques qu'il avait alors laissées sur moi.

Il m'accorda un peu de repos en vérifiant ma capacité au service. Enfin, c'est ce que je croyais. Sur l'ordinateur un message à mon intention était tapé. Il mentionnait une série d'actions que j'allais devoir réaliser. J'avais envie de le taquiner un peu, mais c'était sans compter sur son idée de départ. Je m'appliquais à suivre les instructions et pendant que j’œuvrai avec mon plus grand sérieux, mon Maître me claquait les fesses à chaque mouvement que je faisais et me pousser à ne pas traîner. Forcément la situation me conduisait à oublier certaines instructions voire à ne pas les faire exactement comme indiquer. Mes fesses s'en sont rendu compte. Enfin, le service terminé j'ai un peu de répit debout dos à lui et offerte.

Satisfait de mon obéissance, vint le gage pour m'avoir fait annuler un rendez-vous à la dernière minute. Je l'avais menacé d'une punition mais au vu de sa première réponse, j'ai vite compris que la seule personne qui serait punie c'est moi. Alors je lui demandais une fessée en OTK mode fesseur. Je reçus une magnifique fessée que j'aurai volontiers prolongée. Après avoir embrassé et remercié mon Maître, il m'annonça que j'allais être punie. Depuis une semaine, mon médecin m'avait conseillé de voir un ostéopathe pour soigner mon dos. Et je n'avais rien fait. Il n'avait pas l'intention de laisser passer ce manque de sérieux. Debout dos à lui, il prit la spatule et me sanctionna sévèrement. Je déteste ces fessées punitives de fin de séance. Elles sont toujours bien plus désagréables que celle du plaisir du jeu.

Merci Maître pour cette super séance et la découverte de sensations très fortes, un peu trop pour certaines. Je m'améliorerai Maître pour ne plus voir mon corps me trahir comme en début de séance.

mercredi 9 août 2017

Avenant à mon contrat avec mon Maître

20:06 Posté par Unknown , Pas de commentaire
Ce soir mon Maître m'a fait la remarque du manque de régularité avec mon blog. Il est vrai que ça fait longtemps que je n'ai pas raconté nos séances. Et il y en a eu pourtant. La raison de ma perturbation était tout autre. J'ai passé un concours important pour ma carrière, que j'ai réussi avec des notes honorables pour suivre des études infirmières. Aussi, j'ai donné la priorité à ma carrière par rapport au blog. Mon Maître l'a très bien compris et ne m'a pas sanctionné pour cela. Il était très heureux de ma réussite et du brillant avenir qui m'attend.

Aussi, devant cette nouvelle donnée dans ma vie, j'ai évoqué le besoin de bénéficier du soutien de mon Maître durant toute ma formation. Je suis inquiète avec la reprise des cours de ne pas être aussi attentive et toujours motivée pour réussir. De plus durant ma préparation au concours, mon Maître a toujours eu les bons mots pour m'encourager et me soutenir. Il n'a jamais douté de moi et m'a toujours apaisé face à mon stress compréhensible des épreuves.

Mon Maître a ce charisme qui fait que je n'ai aucune crainte pour lui parler des bonnes comme des mauvaises choses. J'ai appris à ne pas penser pour lui et d'attendre sa décision. Ce que j'apprécie beaucoup car je vis pleinement notre relation, même si parfois je dois payer mes fautes. Je m'attends à une exigence à l'identique de nos jeux.

Mon Maître a écouté ma demande et le besoin que j'avais. Il a à son habitude pris le temps de réfléchir et m'a annoncé son acceptation pour cette prise en charge en plus. Ma joie était immense. Rapidement, il a mis en place ses directives pour cet aspect de la relation. J'étais comblée même si dans ces instants là je vois mes libertés passés fondre littéralement sous mes yeux. Il me connait très bien et il sait comment me prendre.

Merci Mon Maître de m'avoir offert cet avenant. Je vous honorerai par mon sérieux et ma réussite, ainsi que par les nouvelles compétences que je vais acquérir et dont vous serez toujours l'heureux bénéficiaire, en plus de celles déjà acquises.

samedi 20 mai 2017

L'exigence

11:42 Posté par Unknown , Pas de commentaire
Source : http://photographe-paris-mode.skyrock.com
Cette séance là fut pour moi un moment intense et profond dans le don de soi et l'acceptation. Comme toujours je n'étais au courant que du strict nécessaire d'avant séance. J'ai pris la route pour rejoindre mon Maître en priant pour que les bouchons ne soient pas trop pénalisant sur mon temps de trajet. Et ce sera avec 2 min de retard que j'annonçais ma présence à mon Maître. Un peu plus tôt, pris dans les embouteillages je l'avais prévenu par SMS lorsque bloquée je devais patienter à l'arrêt. Il m'avait répondu, mais la circulation reprenant, je n'ai lu sa réponse qu'à son arrivée : "tu fuis la punition". Le sang augmentant sa vitesse laissait à son passage un courant d'air froid qui me glaça. Le signal. La séance va commencer.

J'entre et à mon habitude maintenant je demande l'autaorisation d'aller me soulager. La route et la peur de l'inconnue de la séance sont pour moi tout aussi cruel physiologiquement que les jeux qui suivront. Mon Maître s'en amuse et voyant que j'insistais de manière un peu trop autoritaire, il s'approcha de moi et me tira par le téton. Je râlais car c'était douloureux et gênant. Quelle erreur ! il me fit reculer de la même manière et après avoir pris le temps de s'arrêter me tira à nouveau vers lui jusqu'au toilette. Son regard était déterminé et bien que sa voix fut toujours aussi douce, les mots étaient autoritaires et précis.

Il me ramena de la même manière dans la pièce de jeu. Il s'amusa avec mes seins et mes tétons. C'est alors qu'il me demanda de m'appuyer sur le dossier de la chaise laissant de fait mes seins pendre insolemment. Il pris alors ses pinces à sein dont la simple vu m'effrayées et les mis en place. J'avais envie de me faire pardonner de mon arrivée pas intelligente, mais aussi d'arriver à supporter ce jeu là car j'avais remarqué qu'un plaisir différent de ceux que je connaissais apparaissait alors. Et si mon Maître m'emmenait sur cette voie c'était justement pour que je le vive. Je m'efforçais à tenir à cette douleur. Je soufflais et me calmer pour ne pas laisser la peur et l'appréhension gâcher le jeu. Seule la douleur étaient présent et le plaisir qui doucement montait en moi. Mon Maître me caressait le clito et je mouillais sans le moindre effort. Il décida de faire un pas de plus en y ajoutant deux gros cadenas à lest à chaque pince. La douleur était difficile et les larmes commençaient à faire leur apparition. Mon Maître les avaient bien vu, mais me laissait encore un peu vivre ce plaisir puissant et si différent. Puis il enleva les pinces provoquant une douleur encore plus aigue qui me fit craquer. Il me prit dans ses bras et me rassura.

J'étais sans aucun doute complètement soumise à ses désirs à l'issue de ce premier jeu. Il décida alors de me faire découvrir la puissance du plaisir du bondage. Durant de longues minutes, il pris minutieusement le temps de tisser autour de mon corps un vêtement de cordes. Elles étaient tellement tendues que j'aurai pu en faire un instrument de musique. Je ne comprenais pas où il voulait me conduire, mais ce ne fut que de court durée. Munis de son simulateur de clitoris, il le posa sur les cordes. L'onde se répandit alors sur tout mon corps le faisant vibrer de milles sensations. J'étais complètement désorientée par ce plaisir si fort au point qu'un petit malaise me perturba. Il m'accorda le droit de m'allonger sur le dos, et poursuivit le jeu. Le plaisir étaient divin et intense. Mon défaut de vouloir tout contrôler repris un instant l'ascendant face à la force de ce plaisir qui d'un autre côté me faisait peur aussi. Alors mon Maître pinça à nouveau mes tétons jusqu'à ce que je lâche le contrôle et vive le plaisir à son comble.

J'ai terminé la séance épuisée et heureuse. Mon Maître avaient été exigeant dans ses attentes du jeu. Merci Maître pour cette séance difficile mais si magnifiquement intense.

lundi 8 mai 2017

Le pouvoir des tétons féminins

16:31 Posté par Unknown , Pas de commentaire





En ce beau mois d'avril, mon Maître m'avait donnée rendez-vous pour une séance qui aller être une fois de plus pleines de surprises. J'avais pour crainte majeur d'être bloquée dans les embouteillages du fait des échanges entre vacanciers. Quelle ne fut m'a surprise lorsque j'atteignis le lieu de rencontre avec un quart d'heure d'avance. J'étais contente de moi et imaginais avec joie occuper ce temps supplémentaire pour soulager une envie pressante en toute intimité. Seulement voilà, mon Maître lui, considère que tout temps gagné sur le programme est un temps de plus pour son plaisir personnel. Je ne peux pas vraiment lui en vouloir, car j'apprécie vraiment. Mais là, j'aurai aimé bénéficier de ce bref instant d'intimité qui au final ne me fut pas accordée.

Très fier de sa réponse par SMS, mon Maître me recadra avec une finesse d'esprit que j'adore certes, mais au combien agaçante car difficile à contrer. Et je dus sans broncher aller honteusement me soulager sous son regard voyeur. J'ai beau me dire que c'est mon Maître, ça n'en reste pas moins un moment d'humiliation auquel je ne m'habitue pas. Parfois, je me mets à penser à un contrôle tel de ma vessie que la peur ne génèrerait plus d'envie pressante. J'hésite aussi à m'arrêter sur le bord de la route. Mais voilà, trouver le lieu c'est juste difficile. 

Un film de BDSM tourne en fond dans un tintamarre mixant les jouets de plaisir et les cris et chuchotement du Maître et de sa soumise. Mon Maître avait la ferme intention de vérifier une théorie que j'ai osé émettre lors d'un échange SMS. J'ai l'habitude d'utiliser le "pfff" dès qu'une occasion se présente, ce qui désespère mon Maître. Aussi, il est déterminé à m'en faire passer l'envie. Mais jusqu'à présent j'y échappe toujours de justesse. Sauf que cette fois, je me suis faite avoir, non pas en ayant atteint le nombre de "pfff" fatidiques, mais en ayant fourni une explication des plus douteuses. En effet, j'ai associé le "pfff" au bruit que pouvait faire la cravache. Forcément, mon Maître a voulu vérifier ma théorie. Il saisit alors sa belle cravache rouge bordeaux. De la main droite, il enserre le manche et de sa main gauche tente de la redresser un peu, quand soudain, l'impensable se réalisa. La cravache sous la pression se cassa. Adieu la vérification du "pfff" en lien avec la cravache. J'étais momentanément soulagée, car il m'a promis d'en racheter une. En attendant, c'était pas le jour de la vérification de la théorie.

Que cela ne tienne. Mon Maître ne se laissa pas emporter par la mort de sa cravache. Et courageusement il reprit le cours des choses et se mis à jouer avec mes tétons et mes seins. C'est pour moi une zone très sensible et il le sait très bien. Seulement, j'avais déjà prouvé que j'étais capable de supporter bien plus que ça et donc que j'étais un peu trop dans la comédie. Aussi mon Maître m'expliqua qu'il n'entendait pas et que le filament qui reliait les deux oreilles devait être abîmé. Un filament qui relie les deux oreilles ? mon Maître se moquait bien de moi, mais que cela ne tienne, je répliquais par le fait qu'il se prenait pour une lumière. Forcément, j'ai payé le prix de mon insolence, même si le fou-rire ne lui avait pas échappé. Puis voyant que mon état était satisfaisant, il décida de me pousser le plus loin possible dans la jouissance.

La séance comme à son habitude m'a paru si courte et pourtant si intense. J'ai beaucoup rigolé à l'idée de mon Maître avec une tête en forme d'ampoule électrique que je n'ai cessé de le taquiner avec. Mais à côté de ce côté espiègle qui m'arrive d'avoir, j'ai beaucoup apprécié les progrès que mon Maître m'a encore permis de réaliser.

Merci Maître pour cette agréable séance.

mardi 11 avril 2017

La culotte résistante

10:01 Posté par Unknown , Pas de commentaire
Pour cette nouvelle séance, mon Maître avait longuement réfléchit au plaisir qu'il souhaitait me faire découvrir. Il ne m'avait à son habitude fait part d'aucun indice susceptible de me guider dans ses intentions de jeu. Je pris la route sereine mais avec l'esprit bien préoccupé à cette séance à venir si mystérieuse une fois de plus.

La route fut tout sauf tranquille. Les départs en vacances formaient sur la majeur partie du trajet un bouchon dont j'aurai volontiers fait sauter à cause du retard qu'il entraînait à mon rendez-vous. Toutefois, je ne cédais à aucun énervement. Après tout ça n'allait pas changer la situation et autant ne pas gâcher la séance à venir avec un quelconque énervement inutile. Je préviens mon Maître de la situation pour qu'il ne s'inquiète pas de trop lors d'un arrêt prolongé sur la route.

Enfin arrivée au lieu de rendez-vous j'informe mon Maître de ma présence et attend sagement le signal pour le rejoindre. J'avais une envie de pipi, forcément avec un temps de route bien plus long que prévu. Pour cette séance mon Maître m'avait demandée de garder ma culotte du matin et de garder le rosebud dans mon sac. Porter une culotte est tout de même plus agréable car j'ai l'impression d'être un peu plus protéger. Mais en aucun cas, j'avais imaginé le programme qui m'attendait.

Enfin le signal ! je rejoins mon Maître qui m'attend avec impatience. Forcément, son plus grand plaisir est de me faire traîner avant d'aller soulager mon envie pressante, sourire au coin. Il m'ordonna d'ôter tous les accessoires sans intérêt pour le jeu et m'autorisa à aller au toilette. Alors que j'apprêtais à fermer la porte, il la bloqua et resta planté devant moi pour m'observer dans cette situation fort humiliante. Il m'interdit le droit de m'essuyer m'obligeant à remettre ma culotte dans ses conditions.

De retour dans la pièce principale, mon Maître me dit : "Connais-tu l'histoire de la culotte qui ne sert à rien ? " Je le regardais surprise, car jusqu'à présent, j'avais toujours bien saisi l'intérêt et l'usage du port de la culotte. Mais là où voulait-il en venir ? Je ne savais pas et je n'allais pas tarder à le découvrir. Il commença par passer ses doigts entre les élastiques et à tirer dessus imposant au tissus des formes pour les moins originales. Mes lèvres sont alors divisés par le tissus qui exerce une pression ondulante sur le clitoris. Un plaisir étrange s'installe alors en moi, mélange d'excitation d'une situation inattendue et l'envie de vivre ce jeu. La culotte craque, gémit, mais refuse de céder à mon Maître.

La résistance de la culotte n'effraie en aucun cas mon Maître qui décide alors de tendre sa toile autour de mes seins formant un soutien-gorge solide et à la corde suffisamment tendue. Puis à l'aide d'une deuxième corde, il me crée un string tout aussi tendu. Puis saisissant son stimulateur, il fit vibrer les cordes sur tout mon corps. L'instrument de musique que j'étais devenue en cet instant précis subissait les ondes de plaisir sur mon corps intégral. Le plaisir s'intensifiait et occupait entièrement mon esprit. Je ne pouvais plus percevoir ce qui m'entourait, si ce n'est l'épaule rassurante de mon Maître satisfait de l'effet provoqué.

Il m'autorisa à m'allonger sur la table basse et poursuivi jusqu'à la jouissance. D'abord une première fois où elle fut intense et puissante du fait de la préparation durant la semaine. Et puis une deuxième tentative d'un plaisir fougueux mais qui n'a pas abouti à la jouissance. Mon Maître m'expliqua ce que je prenais pour un échec et me conseilla pour améliorer cela à la prochaine séance.

J'ai pris beaucoup de plaisir à vivre à fond cette séance et je remercie mon Maître de m'y avoir conduit dans d'aussi bonnes conditions.

mercredi 5 avril 2017

Nez en moins !!!

22:42 Posté par Unknown , 2 commentaires


Quand arrive le jour où le destin nous rapproche, il est courant de devoir assumer de vieux griefs du passé. Professeur Max m'avait promis une sanction exemplaire suite à une bêtise que j'avais commis quelques mois plus tôt. C'est avec justice qu'il m'informa de sa volonté de me punir pour mon insolence lors de mon passage près de chez lui. J'espérai que mon Maître viendrait à mon secours. Comme toujours, je lui informais de la demande de Professeur Max et le mis en contact avec lui. Ce qu'il se passa entre ne me fut pas communiquée. Mon Maître m'habitue à ne pas avoir à imaginer ce que demain sera mais juste à vivre ce qu'aujourd'hui m'offre. Cela est très agréable car la vie semble bien plus paisible ainsi, même si parallèlement, un jeu se dessine pour mon plus grand plaisir.

Une semaine avant le jour J, mon Maître décida de taire sa décision sur la rencontre avec Professeur Max, laissant dans mon organisation la programmation d'une rencontre de retrouvailles. De son côté Professeur Max n'en disait guère plus, si ce n'est qu'il était déterminé à me faire payer mes insolences qui entrent temps c'était cumulé selon lui. J'avais beaucoup de mal à le croire, car j'ai pour habitude de prendre bien soin de mes relations. Les taquineries et quelques provocations n'ont pour objectif que leur bien être psychique et l'entretien d'une intelligence cognitive indispensable à leur équilibre mental. Bref, en résumé, je prends bien soin d'eux pour leur plus grand bien.

Mon Maître, au même titre que Professeur Max apprécie beaucoup mon humour, mais tel un boomerang, mon bien être me revient de plein fouet à mon bon souvenir et s'impose à moi comme une faute qui ne peut être effacée qu'après une sanction dûment appliquée. Trente minutes avant de retrouver Professeur Max je reçus un SMS de mon Maître :

"Tu vas te mettre en robe sans culotte. Et tu te tiens à sa disposition. "
Je compris alors que je devrais accepter la punition et obéir à Professeur Max. Par contre, je n'avais pas prévu de robe durant mon séjour et par conséquent il m'était impossible de satisfaire la demande de mon Maître. Je ne pouvais pas faire autrement que lui dire la vérité. Et sa réaction ne se fit pas attendre. Bien que l'échange ne se faisait que par SMS, je sentais dans ses mots l'insatisfaction et le "on en reparlera samedi pour ta punition" me fit froid dans le dos.
Les retrouvailles avec Professeur Max furent chaleureuses. Après avoir s'être désaltéré et passé l'étape de retrouvaille, Professeur Max pris le contrôle de la situation.
- "Tu sais pourquoi je suis là ?" m'interroge-t-il avec un sourire en coin.
- "Oui bien sûr. ça fait si longtemps qu'on ne s'était pas vu. Je te manque tellement que tu as tout fait pour venir me voir aujourd'hui. Je suis très émue d'ailleurs." J'avais très bien compris où il voulait en venir, mais mon côté chipie prenait l'ascendant. Il fallait donc que je trouve une solution pour retarder encore un peu l'inévitable.
- "C'est un fait. Et je suis très heureux de te retrouver. Néanmoins ..."
Je l'interrompais
- "Nez en moins ? Mais qu'as-tu fait à ton nez ? Tu ne sens pas la punition ? Tu la trouves tout compte fait injuste ?"
- "Pas vraiment non et nous allons régler cela de suite". Sur ces mots il se dirigea vers le canapé.

Je le suivais par envie du jeu qui allait suivre. Il avait récupéré son martinet nommé "caressante" qu'il posa sur la table basse.
- "Tu ne devais pas être en robe ? " me demanda-t-il ?
- "J'en ai pas ici. Mais comment tu sais ça ? "
- "J'ai reçu un SMS de ton Maître avant d'arriver".

Puis il m'attrapa par le bras et me fis m'allonger sur ses genoux. La fessée commença avec des paroles que je refusais d'écouter préférant réfléchir au tour que j'allais bien pouvoir lui faire. Malheureusement pour moi, ses chaussures n'avaient pas de lacets, il me fallait donc trouver autre chose. Pendant ce temps les claques tombaient sur mes fesses et, surement l'effet du printemps, je perdais progressivement mes vêtements pour me retrouver les fesses à l'air. Les claques me piquaient et leur rythme provoquaient un réel plaisir. Ce qui me motiva à trouver rapidement une bêtise à faire pour la faire durer un peu plus.

C'est alors que l'instant s'offrit à moi. Professeur Max était très occupé à vouloir prendre mes fesses en photo comme lui avait demandé mon Maître. Mais n'arrivant pas à le faire, il a momentanément détourné sa surveillance. Je saisis l'occasion pour récupérer sa "caressante" et d'un geste précis et rapide, je l'a cachée sous le canapé. Et tout anodinement je repris ma position, en lui montrant que cela devenait inconfortable.

- "On n'a pas fini. Tu vas à présent goûter de ma caressante."
Puis s'apprêtant à prendre son martinet
- "Mais où as-tu mis ma caressante ? "
- "De quoi tu me parles Max ? j'ai pas bougé de ma position. Comment veux-tu que je sache où tu as mis ton martinet ? "
Professeur Max n'avait pas du tout l'intention de perdre son temps à chercher l'instrument. Et bien qu'il ne m'ait pas vu cacher le martinet, il avait senti ma bêtise (même avec le nez en moins, ce qui est surprenant).
- "Donne-moi la caressante que je finisse la punition."
- "Et si je ne veux pas te la donner que va-t-il se passer ? " demandai-je avec beaucoup d'ironie et d'insolence.
- "Je me mettrai en colère et tu seras doublement punie."
A l'idée de le mettre en colère, même pour un jeu me déplu fortement, car je devais aussi honorer mon Maître. Et donc là, j'aurais été en faute et ça, je ne l'acceptais pas. Je récupérai la "caressante" et l'a lui donnée. Il finit la punition.

Durant les dernières photos debout, je sentais mes fesses chauffer. J'étais surprise de cet effet et j'ai beaucoup apprécié.

J'ai passé une très bonne partie de jeu avec des sensations très agréables. Je remercie mon Maître et Professeur Max de m'avoir ainsi apporté du plaisir. Et promis, je recommencerai mes bêtises. 

vendredi 24 mars 2017

La liberté intérieure

22:29 Posté par Unknown , Pas de commentaire


Le temps avait égrené son long chapelet de jours, plein d'angoisse, de stress et d'émotion en tout genre que seule la vie nous enivre au quotidien. J'avais l'esprit concentré sur cette séance et malgré mon retard prévisible, je maintenais avec sérieux une conduite prudente et sûre. Je voulais déjà y être, mais seulement entière et en bonne santé.

La place de parking enfin trouvé, je regarde les volets qui étaient déjà baissés. Je compris alors que mon Maître utilisait ce code pour lancer le signal du début de la séance. Et là, j'étais sérieusement en retard. Je le préviens tout de même de mon arrivée, et sans attendre, je marchais vers lui d'un pas serein et motivé.J'ouvre la porte et après un "Bonjour Maître", il m'accueilla d'un "tu es très en retard", au ton sévère. Un film d'une soumission passait à l'écran de l'ordinateur. Et la musique de la télé donnait l'ambiance festive de la séance. Les consignes étaient simples, après avoir ôté mes accessoires, je devais mettre le bandeau sur les yeux et attendre ses ordres.

Sans me faire prier, je me hâtais à les exécuter. Puis soudain, sans en comprendre le sens, je me suis retrouvée coupée du monde. Le bandeau m'empêchait de voir, c'était un fait, mais j'aurai du comme à mon habitude ressentir autour de moi les choses et aussi me les représenter. Mais ce ne fut pas le cas. J'étais dans un monde obscure où seule la voix de mon Maître proche et rassurante était visible. Je le suivais sans avoir la moindre crainte de tomber ou d'heurter un meuble. J'étais incapable de me repérer, juste là, présente au plaisir que mon Maître avait envie de partager avec moi.

Mon Maître était surpris que je n'aie à ce moment là aucune excitation. Et décida de jouer avec mes seins et mes tétons dont la sensibilité est toujours forte et mes réactions aussi rapides. Et ce début de séance n'allait pas échapper à la règle et mon corps sans hésiter répondait à mon Maître du désir de jeu qui brûlait en lui. J'étais à ce moment là animée par le plaisir que je ressentais malgré la douleur qui m'enivrait.

Il me guida pour m'appuyer sur la table basse Je n'avais toujours pas repérer où j'étais, mais je savais qu'à ce moment là j'étais à lui et rien qu'à lui. Le jeu se poursuit alors sur mes fesses et mon sexe avec la cravache. La douleur n'atteignait pas le plaisir mental et j'espérai cet instant sauveteur de l'arrêt. Mais mon corps en avait décidé autrement, et ses réactions affichées des signes forts du plaisir que je prenais. Impossible de le nier, c'était là sous ses yeux, rien que pour lui. La robe entre les dents, il continua à m'exciter un peu.

Puis il m'invita à m'allonger, ventre sur la table jambes écartées. Il m'annonça que je devais être punie pour mon retard. Je n'étais pas fière de moi et je comprenais très bien sa décision. Elle était juste. Puis il me demanda de choisir entre trois chiffres : un, deux et trois. Sans savoir à quoi cela pouvait correspondre. Je choisis le deux qui correspondait à une fessée avec une spatule en plastique. Les coups sur les fesses étaient sévères, mais impossible de m'exprimer, un bâillon avec une boule m'empêchait de parler. Et  il me demanda de compter les coups. Très difficile et à peine audible, j'espérai de tout coeur qu'il me comprendrait. La fessée terminée, j'ai eu droit à la boule vibro sur le clito. Il joua un peu avec mon plaisir qui montait puis redescendait à suivant son bon bouloir.

Il m'attacha les jambes en les repliant soigneusement pour que je reste bien offerte à lui. Puis il me propose de jouir à sa demande. J'ai voulu essayer, malgré les précédents échecs à cet exercice. Et le premier essai fut à nouveau un échec. J'en avais tellement envie que je n'ai pas pu attendre. Soit, il décida alors de me punir pour cette désobéissance. Et je reçus une nouvelle fessée à la spatule qui a eu le don de m'exciter à nouveau. Il recommença alors en me proposant une autre tentative. Je saisis l'occasion de m'améliorer et cette fois-ci je réussis à coller à son tempo.

J'étais très fière de moi de voir cette boule de bonheur s'épanouir dans le respect de son décompte. Je sentais mon corps se vider, mais j'étais encore pleine d'envie, ce qui n'échappa pas à mon Maître. Et après m'avoir à nouveau excitée, il me fit jouir une troisième fois. Mon corps semblait se vider de toute substance de vie. Epuisée, lessivée et très heureuse, je m'écroulais dans les bras de mon Maître. Quelques tentatives taquines pour titiller mon plaisir à fleur de peau, faisait sourire mon Maître.

Doucement, il m'enleva le bandeau. La lumière m'aveuglait et était difficile à supporter. Je découvris le mobilier qui avait totalement disparu lors de la séance pour moi. Et doucement je revenais à la réalité.

Merci Maître pour cette liberté enivrante et riche de bonheur partagé. Merci de m'avoir fait progresser.

mercredi 1 mars 2017

Condensé de séance : quand une journée devient trois heures

21:16 Posté par Unknown , 2 commentaires
Source : http://www.sentimentmoderne.com/


Un petit message SMS venait de tomber. Mon Maître m'informait que ce vendredi lui était réservé et de faire en sorte de me tenir à sa disposition. C'est quelques mots sur ce téléphone me provoquait quelques pincements au ventre. Une journée de jeu complète ! Cela m'inquiétait du fait qu'une simple séance était déjà pour moi un moment très intense. Alors la journée, j'imaginai très vite mon corps livide incapable de mettre un pas devant l'autre et une voiture non programmer pour rentrer toute seule à la maison. Je tentais d'en savoir plus par des petites interrogations que je croyais anodines. Mais mon Maître esquiva les réponses me laissant dans un film dont je n'avais strictement aucune idée du contenu. Je ne connaissais que les deux acteurs principaux. Un bon pas, certes, mais ça m'inquiétait.

Les jours s'écoulèrent jusqu'à ce nouveau SMS. Un contre-temps empêchait mon Maître de mener à bien l'intégralité de son projet de la journée de soumission. Elle serait donc écourtée à une séance normale. Et comme ma curiosité était toujours bien présente je me risquais de reposer la question du contenu. Gentiment il me répond : "On va condenser la séance de la journée en trois heures." J'avale ma salive. Je reprends mes esprits et je me dis : "c'est pas possible, il ne fera pas ça." Mais tout est possible avec un Maître. J'étais donc pas si tranquille que ça. Il me donne les consignes pour ma venue. Mon Maître me dit toujours de ne pas essayer d'imaginer la séance mais seulement de la vivre. L'avantage pour moi, c'est que ça me permet de passer de bonnes nuits sans me soucier de ce qu'il se passera. Et comme j'ai confiance en lui, je sais que quoi qu'il arrive je prendrai du plaisir.

Le jour J arriva enfin. Je me prépare comme consignée et je prends ma belle voiture pour retrouver mon Maître. La route et l'inquiétude ont fait qu'une fois de plus, je finis le parcours avec une urgente envie de faire pipi. Dès mon arrivée je préviens mon Maître. Mais il traîne à me donner le signal pour que je puisse le rejoindre. Dans un sens ça m'arrange un peu, l'envie est telle que j'ai du mal à marcher. Enfin, le signal est donné. Je me lève la peur de me faire dessus et je me précipite vers mon Maître. J'ouvre la porte et je m'apprête à me rendre d'urgence aux toilettes. Mon Maître m'attend debout et alors que je veux filer au toilette, il m'impose de me mettre d'abord nue.

Je me sens très mal. La peur de me faire pipi dessus en me déshabillant. J'essaie de négocier pour y aller avant, mais en vain. Plus je parle et plus il résiste et plus je me sens mal. Tant pis, j'obéis et attends son autorisation pour aller me soulager. J'essaie de fermer la porte, mais il m'avait suivi. D'un mouvement vif, il bloque la porte. Par réflexe, je râle, ce qui m'a valu une reprise en main immédiate. Et dans ces conditions, il est très difficile de faire pipi, malgré l'urgence. Je comprends alors que quelles que soient les situations je lui appartiens. C'est lui et lui seul qui gère mon intimité. Cette situation est très humiliante pour moi et en même temps, l'envie étant plus forte j'ai privilégié mon bien être et réfuté l'humiliation.

De retour dans le salon, mon Maître commence à me titiller les tétons et les seins. Il sait que la douleur est pour moi difficile à tenir et pourtant elle me fait beaucoup d'effet. A l'aide d'élastiques, il enserre mes seins. Ce n'est pas douloureux en soi car il fait très attention. Mais il prend un malin plaisir à tirer l'élastique et à le lâcher. L'impact sur le sein est piquant et déclenche des rictus de douleur. Il sourit de l'effet de ses élastiques. Puis il enchaîne en tirant sur les tétons. La douleur est terrible. J'aimerai lui ôter les mains, et pourtant en ayant le pouvoir de le faire, mes bras sont bloqués derrière moi par obéissance. Mon sexe est humide et je ne peux cacher le plaisir que cette douleur provoque chez moi. Et pourtant, elle me torture tant, au point que la tête me tourne.

Mon Maître me fait m'assoir, mais n'arrête pas pour autant. Je reprends mon souffle.  Puis ils me demande de m'allonger. Munis d'une spatule de plastique, il stimule mon clito et mes lèvres par des frappes vives et courtes. Je sursaute à chaque impact. Quelques caresses pour vérifier l'état, et c'est avec des pinces à linge en bois qu'il poursuit. D'abord sur mon pauvre clito qui aspirait au repos, puis mes seins, et ainsi de suite en alternance mon sexe et mes seins finir par ressembler à un porc épic. Une douleur sourde envahissait mon corps. Mon Maître décida alors qu'il était temps de stimuler mes sens. Il pris son vibro et me le posa directement sur la tête du clito. Le sang tentait de se frayer un chemin bloqué par une pince récalcitrante. La douleur rejoignait le plaisir. Dans ma tête, j'étais perdue. Mon corps lui savait où il allait. Et c'est fièrement qu'il suivit le rythme imposé par mon Maître. Quelques escapades contrôlées vers le rosebud bien en place ou les tétons, mon Maître s'amusait à voir mon corps se libérer. Je n'en étais plus maître. Et c'est dans un cri que ma première jouissance clitoridienne surgit. Doucement mon Maître retire les pinces et masse les surfaces meurtries. Mais il n'en a pas fini avec moi. Et c'est avec ces doigts qu'il poursuit avec le vagin jusqu'à ce que mon corps se vide complètement dans un plaisir profond et intense.

Un petit café pour récompenser mon Maître de ce merveilleux moment. Et en récompense de ma séance, il m'invita sur ses genoux pour une fessée OTK comme je les aime. Je suis gâtée, car il dit ne pas être un bon fesseur, mais que c'est bon et agréable que de se retrouver ainsi sous son emprise. Un plaisir que j'ai savouré comme une véritable chipie, en n'hésitant pas à le chercher durant la fessée pour qu'il continue à me fesser. Un cadeau merveilleux qu'il m'a fait là.

Je vous remercie Maître pour cette merveilleuse séance. Encore des premières fois qui m'ont fait découvrir la sensibilité de mon corps et sa beauté.

lundi 20 février 2017

le yin et yang de la jouissance

21:50 Posté par Unknown , Pas de commentaire
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Des kilomètres nous séparaient en ce week-end de février, très occupés à des activités aussi diverses que passionnantes. Pourtant, mon Maître en avait décidé autrement et c'est par échange SMS qu'il allait me faire découvrir deux formes de jouissance surprenante.

La première se devait être proche du connu et du déjà vécu, avec bien sûr une marque de nouveauté dont il a le secret. Par téléphone interposée, mon Maître commença son emprise sur moi. Des mots qui m'envoutent et me conduisent systématiquement à l'acceptation de ma soumission et à ma fierté d'atteindre cet état. Il me semblait si cruel lorsqu'il m'obligeait à me caresser et à durcir mon clito pour ensuite m'en imposer l'arrêt. J'étais très excitée et les relances devenaient de plus en plus dures, d'autant que  je n'ai pas le droit de jouir sans son autorisation. Il jouait avec les ordres patiemment et satisfait de l'effet qu'il provoquait. Je l'écoutais et priais pour que le prochain ordre soit le bon. Cette délivrance que j'espérais tant. Il m'a fallu patienter et travailler jusqu'à ce que mon plaisir soit bien là et prêt à pétiller en moi, telle la bouteille de champagne que l'on ouvre pour célébrer un instant magique. J'étais toute retournée par ce plaisir intense d'une jouissance que j'espérai depuis longtemps. Puis il m'annonça, que dimanche soir, j'aurai droit à nouveau à une autre jouissance. Je partis me coucher détendue et calme.

Le dimanche soir, alors que la nuit avait déjà enveloppé la ville de sa couverture d'étoiles, allongée dans un bon bain chaud, je contactais mon Maître comme à notre habitude. Après quelques échangent, il me demanda de le rejoindre sur Skype. Je lui demandais de m'accorder un peu de temps, afin que je puisse me sécher. Ce qu'il m'accorda avec en prime l'obligation de me procurer cinq pinces et mon rosebud. Je n'avais pas percuté sur la contrainte de toujours porter le rosebud lorsque je suis avec lui en réel comme en virtuel. Sa remarque me fit sursauter et c'est avec rapidité que je le mis en place. Mon Maître possède une voix douce et pourtant très puissante d'autorité, aussi ai-je l'impression de l'entendre à chaque fois qu'il intervient par SMS ou Skype. Impossible d'échapper à son étreinte. C'est alors que je lui confirmais la pose du rosebud. La séance commença par la mise en place de deux pinces autours des tétons. L'horreur pour moi qui suis très sensible à cela. La douleur aigüe m'envahissait et j'avais du mal à lui répondre. Mes bras touchaient sans cesse les pinces provoquant des douleurs difficiles à supporter pour moi. Mais je connais l’exigence de mon Maître et je tenais en essayant de me surpasser. Puis il me demanda de poser une pince sur le clito. La douleur était moindre, mais je commençais à ne plus supporter la douleur des seins. Je lui dis car ça faisait déjà 20 minutes qu'elles étaient posées. Il m'invita à les retirer pour les poser cette fois sur les grandes lèvres. Mon sexe ressemblait à un hérisson et la douleur semblait bien plus supportable. J'en réfère à mon Maître qui satisfait du résultat, me demande alors de jouer avec la pince du clito, sans l'enlever jusqu'à la jouissance. La douleur et le plaisir alternaient à chacun de mes mouvements au point où je ne savais plus si j'avais mal ou si c'était agréable. Je continuais à obéir, jusqu'à ce que la jouissance me libéra. Mais contrairement au vendredi, je l'ai perçu vraiment différemment et à la limite confondu à la douleur. J'ai su que je l'avais atteint car mon corps avait bien réagit.Je l'annonçais à mon Maître avec toutes les émotions que cette séance particulière avait généré en moi. Il était satisfait, même si pour moi cette jouissance dans la douleur était une première impressionnante.

Merci Maïtre de m'avoir fait découvrir ces deux saveurs de la jouissance.

vendredi 27 janvier 2017

Bon anniversaire Maître

20:41 Posté par Unknown , Pas de commentaire



Le mystère entourait cette nouvelle séance d'un voile de douceur sous une pluie d'inconnu. Les consignes mentionnées étaient dignes d'une séance de clair obscur où les sens vont être mis à rudes épreuves. J'avançais déterminée vers ma destiné tout en gardant une pincée d'inquiétude. La voiture garée, le signal envoyé et le moment est venu de découvrir les surprises que m'a réservées mon Maître.

J'ouvre la porte doucement. A la télévision, la musique chantonne des airs modernes. Sur l'ordinateur tourne un film d'une séance de BDSM. Mon regard est attiré par ce film pendant que je me prépare en respect des consignes. Mes yeux parcourrent la pièce. Le feu crépite. Personne dans le couloir. Je sens sa présence, mais je me précipite à exécuter mes consignes trop pressées de commencer. Sur la petite table basse un bandeau et une serviette m'attendent. Au sol, un plaid polaire est délicatement posé pour m'adoucir la séance. J'ôte mes chaussures, me mets à genoux, positionne le bandeau sur mes yeux et allonge mon torse sur la table. Me voilà fin prête pour accueillir mon Maître comme il me l'avait demandé.

Ses pas résonnèrent derrière moi. Je sentais sa douce autorité si perturbante et si attirante progresser autour de moi. Puis une poignée ferme me saisit les cheveux. "Tu n'as rien oublié". Mon sang se glaça et ma déception lié à mon oubli me mit à mal. Je reconnus avoir oublié d'attacher mes cheveux. En même temps, la soumise dans le film se mettait à crier. Il s'approche alors de mon oreille et tout en chuchotant, m'annonce une punition pour cet oubli regrettable.

La séance commença vraiment. Il m'ordonna de me relever et d'adopter une position un peu inconfortable mais qui me donnait tout loisir de m'offrir à lui. C'est alors qu'avec beaucoup de bonheur et dans cette position de don à mon Maître, je lui souhaitais un joyeux anniversaire. J'étais sans retenue et tout à son attention pour une séance haute en émotion partagée.

Ma libido dans sa robe de tendresse se laissait guider par les désirs de mon Maître. Parfois avec facilité, parfois dans la douleur et parfois dans la difficulté, mais toujours dans un bonheur assumé et pleinement vécu. Les pinces mordaient clito et tétons. La corde de chanvre fine entourait mes seins et les maintenait dans une posture belle et valorisante. Allongée sur le dos, les mains attachées à mes jambes, j'étais contrainte et offerte aux délicieux jeux de douleurs et de plaisir que les jouets imprégnaient en rythme alternatif jusqu'à la jouissance première.

Une pause café le temps de vérifier que j'avais bien retenu les règles de conduite d'une soumise. Servir son Maître avec dévotion. Obéir et reproduire les positions demandées avec plus ou moins d'hésitation et de précision. J'étais fière de m'exécuter avec rigueur. Son sourire et son attention me comblait de bonheur. Je sentais mon corps l'appeler encore et encore. Et la séance repris avec l'obligation de ne pas bouger et de subir un jeu de cire et de cravache aux douleurs aigües, piquantes, chaudes et enivrantes. Délicatement à nouveau mon Maître me chuchota à l'oreille qu'il allait m'emmener une deuxième fois au plaisir. Mon corps se mit à nouveau à trembler à vivre au rythme de ses caresses et de ses coups. Je me laissais porter et savourer chaque sensation. La séance se termine avec à son apogée un cadeau de mon Maître en prémisse à une deuxième jouissance. J'étais comblée de bonheur et d'une magnifique complicité de jeu.

Et pour conclure la séance, mon Maître me rappela la faute que j'avais commise en arrivant et qu'il me fallait maintenant payer. Il n'avait pas oublié. Les mains posées sur la table basse et les fesses bien présentées, telle fut la position ordonnée. Au même moment, il m'annonça la sentence : une fessée à la main dont chaque claque devra être énoncé haut et fort. Je m'appliquais alors à compter sans savoir quand il s'arrêterait. J'étais inquiète et j'encaissais sans broncher trop honteuse d'avoir désobéit. 

Merci mon Maître pour cette séance du mystère.

mardi 24 janvier 2017

Un bijou intime, un bouton de passion

16:09 Posté par Unknown , 1 commentaire


Son murmure parcourrait les récits d'une subtile aventure à travers les corps et les plaisirs de chacun. Mais jamais en moi je ne l'avais porté. Son nom évocateur exprimé enchanteresse et possession, et c'est dans un tourbillon d'émotion que son diamant bleu me fut dévoilé. Les couleurs de mon Maître sur ce bijou étincelaient de mille éclats. Et pour la première fois, ce fut mon Maître qui le posa.

Son froid et sa dureté s'imposèrent à moi avec ferveur et détermination. C'était surprenant de sentir ce corps étranger se blottir dans mon intimité anale. En futur propriétaire des lieux, il s'impose absorbant ma fragilité et ma douce chaleur. Son gemme d'appartenance bloque à présent une part de mon moi. Mes fesses en enrobent sa couronne concluant la fusion charnelle.

Je le sens en moi, omniprésent, parfois gênant parfois troublant et parfois amant. Imposé durant deux heures et par série de trois par jour, il domine mon esprit par sa présence et ses sensations. Difficile de l'oublier et mon corps tout entier modifie ses mouvements. Cette familiarisation entre un corps et son bijou, cette acceptation d'un étranger dans le plus profond de mon intimité m'apparait comme une clé des plaisirs laisser par mon Maître. Le rosebud porte à mon esprit des lettres de noblesses et de luxes, embellissant mon intimité anale. Réconfortante et valorisante, cette image me berce de la douce emprise de mon Maître.

Ces sens sont nouveaux pour moi et encore au stade de la découverte et de l'émerveillement du pouvoir que peut avoir un tel bijou sur mon corps de femme. Il est encore un objet parfois refoulé pour cette place imposée et humiliante. Des spasmes internes tentent de m'en libérer et mon combat pour son acceptation ne fait que commencer.

jeudi 19 janvier 2017

Deuxième séance

16:33 Posté par Unknown , Pas de commentaire


Pour cette deuxième séance, j'étais très déçue de ma prestation. Je toussais beaucoup et j'étais très fatiguée. La séance de la fessée juste avant celle là, m'avait déjà bien épuisée. Mais je voulais offrir à mon Maître le meilleur que je pouvais.

La route jusqu'à lui fut à la fois longue et rapide, j'avais envie de lui faire partager le plaisir qu'il m'avait autorisé à avoir juste avant la séance. Je me rappelais ses consignes malheureusement, une énorme envie d'uriner aller mettre à mal tout le scénario qu'il avait préparé. Il n'était pas très content de ce contre-temps. Il m'indiqua les toilettes et à peine j'eus fini qu'il ouvrit la porte puissamment, m'observant dans une position fort humiliante. Ne t'essuie pas ! m'ordonna-t-il. Mon sang se pétrifia et malgré tout je m'exécutais. Le ton était donné.

Je rejoins le salon et écoutais avec attention les nouvelles consignes qu'il avait alors adaptées. "En position d'attente" m'ordonna-t-il. Je passais les positions en revue et cherchais celle qu'il fallait que j'adopte. Le temps s'égrenait et je voyais mon Maître jouer de mes inquiétudes. Il contrôla mon état d'excitation et l'état de mes fesses bien chaudement traitée par mon fesseur. Puis il m'autorisa à me lever et à me pencher mains appuyées sur la table basse. Il poursuivit son inspection vérifiant que mon anus vierge de toute pénétration aller être prêt à accepter son cadeau.

Ma surprise fut grande lorsqu'il me présenta ce petit sac noir dans lequel je découvrais un bijou anal d'un bleu roi magnifique. Il l'avait soigneusement choisi à ma taille.  Un rosebud signe de mon appartenance à mon Maître. Après m'avoir demandé de me pencher, il me le posa pour la première fois. La sensation du froid et de la lourdeur allait s'accompagner progressivement d'une sensation d'être toujours prise et possédée au plus intime de mon être.La chaleur de mes fesses avait trop baissé à son goût et il remédia très vite à rehausser la température.

Pour cette séance, mon Maître  avait prévu une punition dont le contenu et la durée étaient liés au hasard. Il m'invita à choisir un premier papier parmi deux posés sur son ordinateur. Je n'étais pas tranquille à cette idée et mes gestes furent maladroit oubliant les règles de présentation d'un objet à mon Maître. Après m'avoir repris, je pus lire sur son visage la satisfaction du trouble qu'il provoquait en moi. Il ouvrit le papier et d'un air moqueur : "ce sera sur les mamelles, pas de chance pour toi". A présent tu vas aller choisir un des deux autres petits papiers pour connaître le nombre de coup. La panique s'installait en moi. Mes seins sont pour moi ce qu'il y a de plus sensible. Je reviens tenant dans mes mains ce nombre si terrifiant de coups. Je m'appliquais à mieux lui présenter. Et il m'annonça un peu déçu : "tu es tombé sur le plus petit nombre. Ce sera 20 coups." La peur s'installait de plus en plus en moi et je commençais à paniquer. Il me calma et m'invita à m'asseoir. Mais hors de question de ne pas subir ma punition. Je dus tenir ma robe bien haut pour qu'il puisse claquer sur chaque mamelle et compter chacun d'eux. La douleur vive était pour moi difficile à tenir, mais je le fis pour lui, parce que c'est mon Maître.

La fin de la séance fut une montée du plaisir associé à un jeu de pinces sur le corps. Complètement livré à lui, j'étais pourtant incapable de lui offrir ma jouissance comme il l'aurait souhaité. Je m'en voulais d'avoir ainsi échoué alors que j'avais tant envie de lui faire plaisir.

J'apprendrai à me surpasser à être toujours mieux pour sa douceur, pour sa gentillesse et son attention, même si ses exigences sont des épreuves à chaque instant. Merci Maître pour cette agréable séance.

Dans l'antre de mon espièglerie



Enfouis au plus profond de mon âme, j'ai entretenu la flamme de mon espièglerie naturelle. Sans jamais faire de mal, sans jamais nuire, mais toujours à agir là où on s'y attend le moins. Après avoir obtenu l'autorisation de mon Maître pour jouer un jeu pur fessée, je fus convoquée par mon Papounet pour expier mes nombreuses soi-disant bêtises. Je dis bien soi-disant, car en fait ma sagesse n'a d'égale que mon espièglerie. Et oser me dire que j'avais commis des bêtises étaient juste incroyables.

Reprenons les faits. Mon Papounet a reçu des courriers (trois en tout) relatant des plaintes de mes professeurs et d'autres personnes. Il semblait fort déçu de voir que son éducation jusque là sans punition était un réel échec. Enfin selon lui, moi ça me convenait très bien. Il a donc décidé d'y remédier  en me sanctionnant d'une fessée sévère mes méfaits. Pensez bien, que je n'étais pas du tout d'accord avec ce traitement. Et puis d'abord, pourquoi devrai-je être puni pour l'esprit étroit de mes professeurs. Non mais sans blague quand même.

Les griefs étaient nombreux : 12 expulsions de cours pour tenue incorrect, propos déplacer vis-à-vis des professeurs entre autre. Franchement ça ne méritait pas une punition, après tout ce n'était pas de ma faute si les profs sont ainsi coincés et qu'ils ne supportent pas qu'on leur réponde quand on n'est pas d'accord avec eux. C'était mon point de vue, mais Papounet les soutenait considérant que j'étais en tort et qu'il me fallait le payer. De sa voix douce et autoritaire, il m'imposa de venir m'allonger sur ses genoux. Ma tenue à mon habitude était sans culotte et je dus encaisser ses claques cinglantes sur mes fesses. C'est fou comme Papounet à de la poigne. Je tentais de le dissuader de poursuivre la punition et c'est avec des "Papounet !" suppliant qu'il s'arrêta enfin.  "Es-tu d'accord avec les reproches de tes professeurs ? " Tout en vérifiant mon état d'excitation. Alors là, fallait quand même pas rêver. Moi d'accord avec les profs, c'était hors de question. Il me fit changer de position et avec un paddle poursuivi la séance. A nouveau je l'emplorai d'arrêter avec des "Papounet !" de plus en plus suppliant. Il faut dire que le paddle bien que moins cinglant que sa main, laissait une sensation de brûlure à mes fesses. Entre chaque salve, il me caressait pour m'apaiser et vérifier la monter de mon plaisir.

Ayant par malheur laisser échappé un bonbon (enfin, j'avais besoin d'une pause aussi ^^) j'obtiens par ce geste un départ du salon de Papounet. J'en profitais alors pour cacher les autres lettres, me disant que si une seule lettre entraînait un telle traitement, avec les trois, j'aurais pas pu m'assoir. Papounet revint bien déterminé à me faire avouer que les profs avaient raison. Et c'est au martinet, qu'il acheva cette punition. Les morsures étaient très aigües et mon corps tomber sous le plaisir de cette douleur si particulière. J'étais à fond dans mon plaisir, l'esprit complètement libéré de toute tension et livré à ma jouissance. La fin de la première punition s'approchait. Et Papounet me rappelait que j'avais encore deux autres courriers de plaintes pour mes comportements et qu'il allait me les faire payer de la même manière. De mon air innocent, je lui montrais qu'il n'y avait qu'une seule et unique lettre sous tous ses instruments de torture. J'étais fière de ma planque car il avait beau soulevé le plateau sous lequel je les avais caché, il ne les voyait pas. Mais ce ne fut que de courte durée, à croire qu'il avait déjà fait cela avant, il finit par les retrouver. Nous règlerons cela plus tard, me prévient-il, tu n'y échapperas pas.

J'ai aimé cette première fessée et surtout la volonté de Papounet à me conduire au plus près de mon plaisir dans la fessée. Merci Papounet


vendredi 13 janvier 2017

En attendant la prochaine séance

00:02 Posté par Unknown , Pas de commentaire


Il suffit de quelques coups de pinceau, pour rendre le tableau riche en couleur et en sensation. C'est en début de cette belle soirée que mes sens furent sollicités. Le signal du jeu lancé, mon Maître vérifia immédiatement mon état du plaisir. Et ne voyant rien venir - trop top pour ma neo-libido - il m'imposa quelques caresses pour y titiller mon bouton du plaisir. Je n'étais pas vraiment disposée à me laisser ainsi porté. La journée, les obligations faisaient que mon esprit vagabondait de-ci de-là. A croire que mon Maître le pressentait. Ces ordres furent une bouffée de désirs dont j'aspire à assouvir. Je m'exécutais heureuse et dévouée.

La leçon du jour devait me frustrer du plaisir de la jouissance pour apprendre à prolonger celui du désir et de l'excitation. Tenir le plus longtemps possible tel est le défi de la soirée. Mon Maître me conseilla de penser à la prochaine séance. La difficulté était grande tellement le cérébral de la séance y jouer un rôle important. Je me concentrais et tentais d'éliminer tous les parasites que j'avais repéré. Puis il me conseilla d'imaginer ce qu'il fera à mes têtons pour qu'ils apprennent à mieux réagir à ses moindres morsures. Mes tétons ! la source de ma plus grande sensibilité et fragilité. La simple idée de cette douleur me glaçait et paradoxalement, l'envie de bien faire et de lui faire plaisir me portait.  Doucement mon esprit se confina au creux de son aura protectrice et c'est avec beaucoup de fierté que j'ai pu constater mon plaisir toujours présent et bien humide comme il l'aime le voir.

Merci Maître pour cette leçon de plaisir que mon esprit a su maintenir jusqu'à présent. Mon esprit s'en doit aller pour un repos bien mérité, mais toujours je vous promets, dans cette excitation et cette humidité que vous m'avez demandé. 


mardi 10 janvier 2017

Séance de midi

19:00 Posté par Unknown , Pas de commentaire


La route traçait ma destinée sur cette mystérieuse première séance. Le paysage défilait tel un champs de bataille où les rayons de soleil se battaient contre le givre déterminé à s'imposer en cette journée d'hiver. Les pins scintillaient de mille feu. Mon esprit errait à travers mon imaginaire. Qu'allait-il me faire. Mon Maître en maintenait le doux secret. L'inattendu, l'imprévisible, rien n'était plus beau que de s'abandonner en toute confiance sans avoir la moindre idée de ce qui peut arriver.

Obéissante à ses ordres je lui signalais dès mon arrivée ma présence. Sa silhouette se dessina à quelques mètres de moi, le téléphone collé à l'oreille. Mon coeur se mit fortement à battre de joie et d'inquiétude. Le bonheur de le retrouver et de sentir cette sérénité et ce charisme envoûtant, et le stress de la séance à venir. Je laissais mes émotions m'envahir pour ne perdre aucune des sensations. Ce doux équilibre qui caractérise si bien notre relation.

Dans la cuisine, sa courtoisie m'impressionna. C'est tellement rare de voir un homme prendre ainsi soin d'une femme. Une denrée en or dont je suis l'heureuse bénéficiaire. Une fois débarrassée de mes accessoires, il m'invita à passer dans le salon. Mon Maître s'imposa naturellement. Je comprenais alors que la séance commençait.

Première leçon : La présentation.Toujours de sa voix douce et ferme, mon Maître m'expliqua comment à chaque fois que je viendrai le voir, je me devrai de me présenter. Une posture simple au demeurant et difficile mentalement pour son côté humiliant, imposait à mon esprit mon transfert en propriété de mon Maître. Son regard autour de mon corps m'enveloppait de sa protection et ses doigts erraient sur mon corps abandonné.

Les plaisirs s'enchaînèrent entre puissance et passion. Mon plaisir était immense et rayonnait dans mon antre. Je me laissais guider par ses excès de plaisir et ses souffles de récupération à l'image d'une symphonie en cours d'écriture. De ses doigts habiles et créatifs, il tissa sur ma poitrine un beau bondage valorisant mes seins avec fierté. Les coups  firent une première entrée en scène, titillant et parfois mordant. La douleur était supportable et je l'appréciais pour l'excitation qu'elle m'apportait. Mes seins et mes têtons étaient mis à rude épreuve. La douleur très aigue était pour moi la plus difficile à supporter. Pourtant je n'avais qu'une seule envie : tenir. Tenir pour ne pas décevoir mon Maître, pour son plaisir.

Mon corps était fidèle à ma description sur mes réactions. Mon Maître voulait découvrir le potentiel de son jouet. Il m'allongea sur la table basse. Des cordes liaient mes membres entre eux bloquant la moindre intention de mouvement. Une boule dans la bouche et les yeux dans l'obscurité d'un doux masque soigneusement adaptée, j'étais offerte sans moyen de me protéger de cette nouvelle étape de la séance. Ce fut au tour de mon sexe de découvrir la douleur et l'obéissance. Les coups étaient mesurés et pourtant ma sensibilité croissait. Mélange de honte, d'humiliation, de fierté et de désir. Mon Maître ne se trompait pas sur ces jeux. Il prenait doucement le contrôle de mon clito lui imposant ses désirs. Le plaisir me portait dans une immense libération jusqu'à la jouissance qu'il domina.

La troisième partie de la séance commençait par une fessée qu'il dirigea avec volupté. Des coups posés et radiant accompagnés de caresses rassurantes. Il était temps de revenir sur un jeu inattendu, surprenant même. Un jeu où mon Maître a poussé sur mon point le plus sensible mes tétons et mes seins. Les larmes coulaient des morsures des pinces et de leur retrait tout stimulant le plaisir.

La fin de la séance s'approchait. Mon Maître décida de vérifier si j'avais bien appris les deux positions qu'il m'avait transmise. Et me fit les exécuter. J'étais fière en position d'attente malgré l'inconfort qu'elle générait sur mon corps. Puis ce fut au tour de l'humble ou mon Maître pris plaisir à me faire sentir son côté humiliant pour moi. La séance se termina avec une dernière leçon pour apprendre à servir son Maître et je fus autorisée à m'asseoir à ses côtés.

J'étais complètement vidée, heureuse et invulnérable. Je sentais la puissance de mon corps, de son impact sur mon Maître et les désirs qu'il avait su susciter en lui. Il était temps pour moi de rentrer. Un dernier baiser respectueux et un remerciement. 





                                                                                                    

vendredi 6 janvier 2017

Première rencontre

20:00 Posté par Unknown , Pas de commentaire



Ses mots coulaient dans un lit de velours et de tendresse empreints de sévérité et d'autorité. Ce subtile et équilibre mélange m'a envoûtée et portée dans les méandres d'un jeu connu et désiré. Son portrait affiché dans cet encadré me tourmentait plus par peur d'être rejetée.

J'ai mal dormi cette nuit. Les craintes et l'excitation se succédaient sans jamais s'arrêter. C'était le grand jour, celui de la première rencontre. Celui où chaque moment chaque instant passé scellera les bases de la qualité de la rencontre. Consciencieusement, je m'appliquais à me préparer en respectant les premières règles de son éducation.

Le temps s'égrenait comme un chapelet comptant les secondes qui nous séparait encore. C'était long et court. C'était anxiogène et palpitant. Mon esprit suivait le fil des souvenirs de ses écrits et me guidait dans l'abandon d'une réalité dont je perdais progressivement le contrôle. J'aurai pu l'en empêcher et diriger comme je l'avais toujours fait. Mais j'en ai décidé autrement. Mon envie de vivre à fond cette relation nécessitait mon don total dès le départ. Être là pour lui et avec lui et me laisser porter au gré de ses envies.

Les places étaient nombreuses sur le parking très grand de cette zone commerciale. Étant arrivée en premier, je bénéficie du choix de l'emplacement. Le SMS envoyé, j'écoute la musique qui tourne en boucle dans la voiture. Je n'en perçois plus les paroles, c'est un fond mélodieux et doux qui m'accompagne jusqu'à son arrivée.

Sa sortie de voiture renforçait l'assurance et la stabilité que j'avais perçue dans ses écrits. Il se dirigea directement vers moi et monta dans la mienne. A cet instant, je me suis sentie coupée du monde et protégée contre tout ce qui pouvait se passer à l'extérieur de la voiture. Pourtant, un raz de marée d'émotion allait déferler en moi.

Sa voix était douce, posée et calme. Son impact fut immédiat. Ma fragilité s'enveloppa alors d'un manteau chaud de réconfort et de sécurité. Puis ses yeux bleus, vifs et réactifs parcourraient mon corps désireux et curieux. Puis sa main parfois douce et caressante parfois plus directive et imposante dirigeait les réactions de mon corps obéissant et dévoué. Une complicité entre eux que ma raison ne voulait briser. L'instant était magique.

Mon esprit aussi s'en est allé à épouser les décisions que mon Maître prenait. L'humiliation m'accompagnait à travers chacune d'elles. Au fond de moi, j'entendais la voix de la rébellion qui  m'a toujours accompagnée frustrée par ses privations imposées. Et pourtant, ce lâcher-prise me détendait et me libérait des tensions diverses du quotidien.

Pour cette merveilleuse première rencontre, je vous remercie mon Maître.

mercredi 4 janvier 2017

Bienvenue

19:11 Posté par Unknown 2 commentaires

La vie est un long fleuve dont la quiétude n'a d'égale que la paresse de notre vie. Saurai-je un jour m'enivrer de ces essences sans jamais me lasser et à toujours aimer. Je m'en suis interrogée pas plus tard que la veille de cette nouvelle année. Qu'allais-je bien pouvoir faire de mes plaisirs à nouveau retrouvés et que la destinée désirait cacher ?

J'ai suivi les sentiers de la dévotion pour un Maître qui n'est à ce jour qu'une photo sur un site internet. Ces écrits m'envoûtent par leurs couleurs si nuancées et contrastées. Posés et directifs, les mots s'enchaînent en tourbillon autour d'une pensée ou d'une émotion.

La magie de la soumission s'installe en moi comme une passion, une destination. Serai-je capable de boire le nectar de la vie et d'en apprécier les saveurs ?